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P83 Fonds Paul Létourneau
ca 1990-2014. – 40 photographies. – 3 livre d’artiste (comprenant 31 photographies)
Notice biographique
Paul Létourneau est né en décembre 1949 à Montréal. Il y demeure mais fait des excursions périodiques dans Charlevoix.
Il développe en bas âge un intérêt marqué pour les arts visuels, la photographie et la peinture à l’huile, inspiré par son père Marcel, diplômé de l’École des Beaux-Arts et graphiste de carrière à la Société Radio-Canada. C’est lors d’une excursion de photographie en 1961 où il accompagne ce dernier, qu’il s’émerveille en voyant Charlevoix. Plus tard, il acquiert l’équipement de son père. Ça sera son lancement en photographie.
Fasciné par la splendeur du paysage « charlevoisien », il parcourt la région depuis plus de 40 ans, à la recherche de nouveaux sujets et de la lumière vibrante et unique qui la caractérise. Depuis sa retraite, il s’adonne encore plus intensément à cette quête ayant comme objectif d’approfondir sa vision de ce coin de pays unique dans le souci d’en archiver la beauté et en saisir l’âme.
En 1999, il publie un premier livre de ses photographies avec feu son père en collaboration avec Les Éditions Internationales Alain Stanké. En 2013, il publie un livre d’art de photographies de Charlevoix (édition privée) portant le nom « lumière de Charlevoix ». Ses photographies font l’objet d’expositions au Musée de Charlevoix en 2003 et 2007 ainsi que dans une Galerie d’Art de Toronto en 2007 et 2011. En 2006, ses photographies sont publiées dans le cadre d’un Hommage à la Réserve mondiale de la Biosphère de Charlevoix (UNESCO), en collaboration avec Papeterie Saint-Gilles.
Parallèlement à son engouement pour la photographie, il devient adepte de la peinture avec rigueur et discipline. De 2006 à 2012, ses tableaux sont exposés dans une galerie de Toronto ainsi que dans une galerie de Montréal.
Paul Létourneau est diplômé de l’université McGill (B.A.) et de l’université de Montréal (LL.L). Il est membre de Barreau du Québec depuis 1976. Après avoir fait carrière comme avocat puis dirigeant chez Air-Canada s’étendant sur une période de 25 ans, il prend sa retraite en 2005 pour mieux se consacrer entre autres à la peinture et à la photographie. Il a aussi œuvré à différents moments au sein de divers conseils d’administration en lien avec le patrimoine de Charlevoix (Musée de Charlevoix, Papeterie Saint-Gilles, etc).
Portée et contenu
Le premier versement de ce fonds contient seize tirages grands formats (de très grande résolution) de photographies prises par Paul Létourneau illustrant le patrimoine bâti et la nature de Charlevoix. Les tirages sont montés dans des passe-partout d’exposition et l’artiste a signé dans le coin inférieur gauche. Le second versement contient un livre d’artiste dans un boîtier (exemplaire unique, numéro 1/5 H.C.) comprenant 31 tirages grands formats. Le livre s’intitule Lumière de Charlevoix. Le troisième versement contient 24 tirages grands formats de photographies de Charlevoix réalisées par Paul Létourneau et montées pour une exposition au Musée de Charlevoix. Enfin, le dernier versement contient 2 autres exemplaires (4/5 et 5/5 H.C.) du livre Lumière de Charlevoix.
P84 Fonds Jean-Pierre Bouchard
1947-1983. – 35 centimètres de documents textuels.
Notice biographique
Jean-Pierre L. Bouchard est né à Baie Saint-Paul (rue Saint-Adolphe) dans la maison familiale de Clovis Bouchard et Marianne Chatigny, le 25 novembre 1940. Après ses études primaires à l’Académie Saint-Joseph, il poursuit le cours classique au Séminaire Sainte-Croix à Montréal et complète les années de philosophie à l’Externat Saint-Jean-Eudes à Québec. Il obtient son doctorat à l’Université Laval en 1965, puis complète sa formation en médecine et en neurologie à l’Hôpital de l’Enfant-Jésus et à l’Université de Toronto. Pendant son séjour dans la ville-reine, il consacre deux années à la recherche sur la pathologie des maladies neuromusculaires au Banting Institute. En 1971, Jean-Pierre Bouchard reçoit sa certification en neurologie du Collègue des médecins du Québec et du Collègue royal des médecins et chirurgiens du Canada. La même année, il devient professeur adjoint au Département de médecine de l’Université Laval. Il est agréé en 1976, et titularisé en 1985.
Le docteur Bouchard accepte, au milieu des années quatre-vingt, la responsabilité du cours de premier cycle « Système nerveux », responsabilité qu’il assumera jusqu’à son départ à la retraite, en 2006. En outre, il s’engage activement dans la réforme du programme de formation spécialisée en neurologie et devient, en 1981, le tout premier vice-doyen aux affaires cliniques de la Faculté de médecine (poste qu’il occupera jusqu’en 1985). Parallèlement à ses activités d’enseignement, le docteur Jean-Pierre Bouchard mène d’importantes activités de recherche.
Depuis la fin des années soixante-dix, les recherches cliniques du docteur Bouchard portent en grande partie sur l’ataxie spastique récessive de Charlevoix-Saguenay. C’est d’ailleurs aux termes de 25 années de travail acharné qu’il réussit à localiser, en l’an 2000, avec l’aide de chercheurs québécois, américains et suédois, le gène responsable de cette maladie. La découverte a fait non seulement l’objet d’une publication dans Nature Genetics, mais elle est sélectionnée parmi les dix découvertes de l’année par le magazine Québec-Sciences (L’Ataxie démasquée). Tout au long de sa carrière, le docteur Bouchard recevra plusieurs prix, hommages et titres honorifiques.
Le docteur Bouchard conduit également des recherches cliniques sur le gène de la dystrophie musculaire oculopharyngé, la dystrophie musculaire de Duchenne, la sclérose latérale amyotrophique et la sclérose en plaques. Ses recherches génèrent de nombreuses publications. À ce jour, le docteur Jean-Pierre Bouchard a publié plus de 300 abrégés, articles ou chapitres d’ouvrages, dont plus de 25 sur l’ataxie spastique récessive de Charlevoix.
Clinicien très actif, le docteur Jean-Pierre Bouchard participe, au milieu des années 80, à la fondation du Groupe d’intervention sur les maladies héréditaires de Charlevoix. En 1990, il met en place la Clinique multidisciplinaire des maladies neuromusculaires de Charlevoix, clinique dont il est titulaire depuis 1998.
Au niveau social, il s’est intéressé à la Société d’histoire de Charlevoix dès ses débuts, comme vice-président de 1986 à 1992. Il a été membre du conseil d’administration du Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul, et de plusieurs fondations. En 2013, il est le président d’honneur de la campagne de financement du Centre d’archives régional de Charlevoix dans le cadre du programme Mécénat Placements culture.
Portée et contenu
Le fonds contient des répertoires de généalogie publiés par le frère Éloi-Girard pour les comptés de Beauce, Montmagny et Charlevoix-Saguenay. On retrouve également les cahiers d’histoire de la Société historique de Québec (numéros 1 à 35) ainsi que différents textes de l’abbé Jean-Paul Tremblay dans des livres ou des revues
P85 Fonds Jacques Girard
ca 2010-2014. – 62 centimètres de documents textuels. – 2 photographies. – 20 plans. – 1 livre.
Notice biographique
Jacques Girard est né le 13 octobre 1935 et baptisé le lendemain à l’église de Baie-Saint-Paul. Il est le fils de Maür Girard (1904-1947), industriel dans le domaine du bois et d’Estelle Tremblay (1904-1994). Cette dernière, fille de Médéric Tremblay (marchand général) et d’Anastasie Gagnon est la sœur de l’abbé Jean-Paul Tremblay, historien et écrivain bien connu dans la région.
Jacques Girard fait ses études primaires et secondaires à Baie-Saint-Paul. Ensuite, il poursuit des études collégiales au Séminaire de Chicoutimi et à celui de Québec où il obtient un baccalauréat ès arts. Il continue ses études à l’Université Laval où il obtient un baccalauréat en sciences appliquées (génie chimique) en 1960 puis une maîtrise dans la même discipline en 1966. Il travaille dans un premier temps comme ingénieur au ministère de la Voirie, puis pendant quelques années au Bureau de normalisation du Québec (ministère de l’Industrie et du Commerce). De retour au ministère de la Voirie (Transports), il a occupé, après une maîtrise en administration publique de l’École nationale d’administration publique (ÉNAP), des postes de gestionnaires dans différents domaines des transports.
Après sa retraite en 1991, il a fondé avec un associé, Raymond Dufour, SOCOTRAN, société de consultants en transports. Cette société a réalisé une trentaine de mandats, la plupart reliés au domaine des transports.
Sollicité par Rolande Perron pour des articles dans la revue Les Ainés porteurs de mémoire, il a commencé à s’intéresser à l’histoire de Baie-Saint-Paul. C’est ainsi qu’en octobre 2002, avec Jacques Harvey (fils du capitaine Gérard Harvey) et la collaboration de Monique Fiset (fille du Dr Armand Fiset), il a publié un premier ouvrage La Baie St Paul Lumber – Histoire d’une tentative d’industrialisation avortée.
En 2014, toujours en collaboration avec Monique Fiset, il publie un autre ouvrage sur la petite histoire de Baie-Saint-Paul À Baie-Saint-Paul, toute une tempête…autour d’un verre de whisky – Un deuxième procès pour influence indue dans Charlevoix. Une virulente querelle autour de la licence pour la vente de boissons alcooliques, qui occupa la vie quotidienne des baie-saint-paulois de 1912-1913.
Portée et contenu
Ce fonds porte sur trois thèmes principaux, dont deux ont servis de base documentaire pour la publication de deux volumes issus de la plume de Jacques Girard et Jacques Harvey. Le premier porte sur l’aventure industrielle de la Baie St. Paul Lumber et le deuxième sur un procès entourant les débits de boisson à Baie-Saint-Paul au début du 20e siècle. Le troisième thème porte sur l’aventure minière de la Continental Iron and Titanium Mining, laquelle a opéré un site d’extraction dans le secteur du rang Saint-Jérôme de Saint-Urbain. On retrouve aussi quelques documents sur l’abbé Jean-Paul Tremblay (oncle de Jacques Girard).
P86 Collection Jean-Luc Turcotte
ca 1890-1990. – 4 mètres de documents textuels. – 772 photographies. – env. 200 livres. – 244 artefacts.
Notice biographique
Jean-Luc Turcotte est né le 17 mai 1952 à La Malbaie du couple formé par Lucienne Imbeault (enseignante en français) et Jean-Paul Turcotte (gérant du magasin de meubles Légaré à La Malbaie). Il est l’aîné de neuf enfants. La famille vit alors sur la rue de l’église.
Il fait ses études primaires aux écoles Marguerite-d’Youville et Félix-Antoine Savard de La Malbaie et ses études secondaires au collège de La Malbaie. Il fait alors partie de la fanfare des Commodores de La Malbaie et joue du trombone. C’est son père qui est le commandant de cette fanfare. Il fait ses études collégiales au campus Notre-Dame-de-Foy.
Jean-Luc Turcotte fait ses études universitaires en éducation physique à l’Université de Sherbrooke. Il se spécialise en volleyball, ce qui l’amène à être sélectionné comme marqueur officiel aux Jeux Olympiques de 1976 à Montréal. À cette occasion, il développe un système de prise de statistiques novateur qui a été réutilisé par la suite. Il est également entraîneur d’équipes universitaires et juniors de volleyball.
Entre 1979 et 1981, il enseigne l’éducation physique au niveau secondaire au Pensionnat pour filles de Waterville puis au Séminaire Saint-Charles de Sherbrooke jusqu’à sa retraite en 2010.
Il est passionné par les nouvelles technologies et par les approches innovantes d’enseignement. De 2000 à 2010, il consacre sa carrière à l’enseignement des technologies de l’information pour développer les compétences transversales chez les jeunes.
Jean-Luc Turcotte s’intéresse à différents domaines, notamment à la photographie et à l’horticulture. Il fait d’ailleurs partie du conseil d’administration du club d’horticulture de Sherbrooke pendant plusieurs années. Il maîtrise le piano et la guitare.
Sa plus grande passion est certainement la généalogie et l’histoire de Charlevoix (particulièrement La Malbaie). Il collectionne tout ce qui se rattache à cette passion.
De 1985 jusqu’à son décès survenu le 23 décembre 2011, il partage sa vie avec Édith Guérin. Ensemble, ils auront deux enfants, Marc-Antoine et Catherine.
Portée et contenu
Cette collection contient des documents d’archives (textuels et photographiques), de la documentation, des objets et des livres rassemblés par le créateur pour documenter une partie de l’histoire de Charlevoix (particulièrement La Malbaie). Il s'agit d'une collection qui touche plusieurs thèmes différents, dont le Manoir Richelieu, le club de golf Murray bay, la Canada Steamship Lines (dont les bateaux blancs), divers personnages influents pour la région, etc. Le collectionneur est également le créateur de certains documents, notamment des documents sur lesquels sont consignés des entrevues qu’il a faites avec des gens qui ont marqué l’histoire (aujourd’hui décédés pour la plupart) ainsi que des photographies d’événements historiques auxquels il a assisté dans le but de documenter sa collection (démolitions, grèves, événements culturels, etc.). Il y a, entre autres, des entrevues réalisées avec des anciens politiciens municipaux qui mettent en lumière certains événements. La collection est divisé par thèmes.
P87 Fonds Hebdo Charlevoisien
ca 1985-2010. – 14 509 photographies. – 457 négatifs. – 6 diapositives. – 48 disque compact.
Histoire administrative
La première édition du journal Hebdo Charlevoisien a été publiée le 9 mars 1996, sous l’égide de Charles Warren et Guy Charlebois. Le journal est alors un concurrent direct du Plein-Jour sur Charlevoix produit par Québécor. Avec Sylvain Desmeules à la tête de l’information, le journal prend rapidement son envol et devient le seul hebdomadaire de la région (le Plein-Jour cesse ses activités en 2009). L’aventure de l’Hebdo Charlevoisien s’avère un vif succès, allant jusqu’à rafler à plusieurs reprises le titre du « meilleur hebdo » auprès de l’Association des hebdos du Québec, sans compter les nombreux prix pour le travail de ses artisans : journalistes, photographes et infographistes.
Guy Charlebois et Charles Warren se retire en même temps de l’organisation et publient leur dernière édition le 3 juin 2015. En prenant leur retraite, ils laissent les rênes à une nouvelle génération incarnée par Simon Warren (le fils de Charles). Le 10 juin de la même année, le journal change de nom et devient Le Charlevoisien.
Portée et contenu
Ce fonds contient des documents iconographiques publiés ou non dans le journal L’Hebdo charlevoisien. Ces documents proviennent des couvertures journalistiques faites par l’équipe du journal (en grande partie par Sylvain Desmeules, Guy Charlebois et Charles Warren). On u retrouve donc des photos ou négatifs d’événements s’étant déroulés sur le territoire de Charlevoix. Les sujets sont divers : politique, faits divers, sports, culture, etc. Le fonds contient également tous les numéros publiés du journal Hebdo Charlevoisien, mais ils ne sont pas comptabilisés comme des documents textuels (puisque soumis au dépôt légal).
P88 Collection Pierre Sévigny
ca 1950-2010 – 60 centimètres de documents textuels. – 540 documents iconographiques.
Notice biographique
Pierre Sévigny est né à Montréal le 15 janvier 1943. Son père est agronome et l’amène très tôt parcourir la campagne québécoise, le long du fleuve Saint-Laurent. Le jeune Pierre est déjà à ce moment attiré par les bateaux et se rend irrémédiablement sur les quais des différents endroits visités.
Il fait des études universitaires en lettres françaises à Montréal. Il épouse Lise Mineau le 28 août 1972 à Joliette. Au cours de sa carrière active, il occupe différents postes, notamment celui d’enseignant à Ville Saint-Laurent. Il sera également courtier en pharmacies, travail qui l’amènera à voyager un peu partout au Québec. En parallèle à sa carrière, il suit des cours en guitare classique à l’Université de Montréal.
C’est aussi un collectionneur. Il consacre une grande partie de sa vie à recueillir des documents et des informations pour documenter le sujet des goélettes du Saint-Laurent.
Au moment de la retraite, lui et son épouse s’installe dans Charlevoix, d’abord à Cap-aux-Oies, puis à Baie-Saint-Paul. Son intérêt pour la question maritime est alors de plus en plus présent. Pierre Sévigny est décédé le 30 janvier 2013 à Baie-Saint-Paul.
Portée et contenu
Cette collection résulte d'une accumulation de documents d'archives provenant d'une recherche menée par Pierre Sévigny sur l'époque où les goélettes (les caboteurs) sillonnaient le fleuve Saint-Laurent. Dans Charlevoix, l'industrie maritime a été florissante au cours de cette période, notamment en raison des nombreux chantiers de construction de goélettes qui se trouvaient dans les villages côtiers de la région. Cette collection contient plusieurs fiches de renseignement rédigées par le créateur de la collection sur chaque goélette du Saint-Laurent. On y retrouve également des photos de goélettes.
P89 Fonds Société d'aqueduc de la Mare à la truite
1957-2000. – 11 centimètres de documents textuels.
Histoire administrative
La Société d’aqueduc de la Mare à la truite est constituée d’une vingtaine de propriétaires terriens de Baie-Saint-Paul qui régissent ensemble un réseau d’aqueduc privé situé dans le secteur du Coteau des Fortin et du lieu-dit de la Mare à la truite. La Société est fondée en 1957, mais les installations du système ont été construites une trentaine d’années auparavant. Ce réseau d’aqueduc (avec réservoir et accessoires) a été aménagé pour l’utilité des propriétaires, sans aucune desserte à l’extérieur de la Société. La Société est dissoute en 2000, suite à une décision gouvernementale. Le réseau d’aqueduc de la Mare à la truite est alors relié à celui de la Ville de Baie-Saint-Paul.
La Société a également été connue sous les noms de : Syndicat d’aqueduc Rivière-des-Mares et Société d’aqueduc du Coteau des Fortin.
Portée et contenu
Ce fonds témoigne des activités de la Société d’aqueduc de la Mare à la truite. On y retrouve des procès-verbaux, des documents comptables, des contrats, des rapports d’analyse de la qualité de l’eau, de la correspondance avec les instances gouvernementales ainsi que des documents en lien avec le rattachement du réseau avec celui de la Ville.
P90 Fonds Club Lions de Baie-Saint-Paul
1970-2016. – 1,88 mètres de documents textuels. – 2575 photographies. – 1268 négatifs. – 740 diapositives. – 6 cassettes VHS. – 2 disquettes.
Histoire administrative
Le Club Lions de Baie-Saint-Paul est un organisme incontournable en matière de développement social et économique de la ville et de sa communauté. C’est grâce à cet organisme qu’ont vu le jour de nombreux projets tels que l’aide aux plus démunis, aux personnes âgées et aux jeunes dans le besoin. Faisant partie intégrante de la communauté depuis quarante ans, les implications sociales à caractère philanthropique des Lions de Baie-Saint-Paul ont largement contribué à l’épanouissement de la région de Charlevoix. Plus largement, leur contribution au niveau national pour la Fondation des Clubs Lions du Québec et du Canada ainsi que pour celle des Clubs Internationaux a soutenu des causes telles que les maladies de l’œil, la dystrophie musculaire et la fibrose kystique qui sont au cœur de leurs préoccupations.
Portée et contenu
Le fonds témoigne des activités du Club Lions de Baie-Saint-Paul et de son rayonnement à l’international s’échelonnant de 1970 à nos jours. Ce fonds est composé de documents pouvant nous renseigner sur les activités de financement, les Congrès, les réunions, les nombreuses correspondances et réalisations de l’organisation à l’échelle locale et internationale. On y retrouve aussi les textes fondateurs témoignant de leur raison d’être en tant que club social pour les membres d’une communauté ainsi qu’organisme humanitaire venant en aide à une clientèle démunie.